Dans le cadre de mon travail sur la fin de vie, j’ai échangé ce matin avec M. le Chanoine Asso, sur la notion de dignité humaine, l’équilibre entre morale et éthique, mais surtout sur l’urgence de revaloriser et améliorer notre système de soins palliatifs.
Puis j’ai échangé avec Bernard Kohl, représentant de la Fédération protestante de France dans les Alpes-Maritimes, sur l’urgence à légiférer sur la fin de vie et la violence qu’elle peut entraîner pour bon nombre de patients et de familles. La volonté du patient doit primer.
Enfin, avec Julien Giraud-Destefanis, Président de l’Eglise Protestante Unie de France, nous avons parlé de la nécessité de faire évoluer la législation de la fin de vie . Si l’aide active à mourir peut être considérée comme un acte de miséricorde pour soulager les souffrances d’un patient, elle doit aussi être strictement encadrée, pour le bien de tous.
