J’ai rencontré les représentants des salariés de Galderma, à l’Assemblée Nationale, pour discuter de l’avenir des 550 employés concernés par la fermeture du site de Sophia-Antipolis par le groupe Nestlé.
C’est un coup dur pour le territoire, qui voit son plus grand centre de recherche sur la dermatologie partir. C’est une catastrophe pour les salariés abandonnés par la Direction et dont la culture du secret de Nestlé vient nuire aux négociations.
Parce que le secteur de la recherche est essentiel au développement de l’industrie française et au développement du territoire, j’ai soutenu un amendement lors du Projet de Loi de Finances pour 2018 qui visait à conditionner l’octroi du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi et du crédit d’impôt recherche au maintien des activités des entreprises bénéficiaires sur le territoire français pour l’année 2018.
En tant qu’élue des Alpes-Maritimes, je tiens à leur réaffirmer mon soutien dans leur combat, je resterai vigilante aux conclusions sur la protection des salariés et les garanties fournies par la direction de Nestlé.
